À vous la parole

Pour un élu municipal, la gouvernance ou encore l'imputabilité envers les citoyens peuvent sembler relativement claires. On parle du maintien ou du développement des services de voirie, aqueduc, égouts, protection incendie, ramassage des déchets, loisirs, etc. Mais tout ça sur un territoire administratif bien délimité, la municipalité. Mais les frontières de la municipalité sont-elles ou doivent-elles être étanches?

La bonne gouvernance fait spontanément naître de grandes idées dans l'esprit de la personne qui doit en appliquer les principes. Cependant, il arrive que les plus nobles intentions se transforment en véritables cauchemars. 

Une récente étude commandée par le ministère du Développement durable, de l'Environnement, de la Faune et des Parcs (MDDEFP), démontre clairement qu'au Québec on malmène nos milieux humides. Dans l'aire d'étude, on constate une perte nette en superficie de 99 % pour les milieux humides qui ont fait l'objet d'une demande de certificat d'autorisation auprès du MDDEFP entre 2006 et 2010. Pourtant, ces milieux sont d'une grande importance pour notre société.

Toutes les Olympiades de l'ère moderne ont été caractérisées par les cérémonies et le transport de la flamme. Les porteurs de feu viennent propager l'esprit olympique d'un événement à un autre... quel beau symbole.

Le 3 novembre dernier, suite aux élections municipales, le portrait politique de plusieurs villes et villages aura changé. De nouveaux élus voudront bien assaisonner les discussions futures de leurs convictions profondes. C'est Honoré de Balzac, qui, dans un ouvrage intitulé ‘Le curé du village' écrivait : « La conviction est la volonté humaine arrivée à sa plus grande puissance. » Puissance ou non, qu'en est-il du véritable impact qu'ils pourront offrir à l'intérieur de leur MRC, celle-là même qui perd peu à peu de ses pouvoirs?

Par Marie-Pier Bédard

Les élections municipales 2013 viennent tout juste de se conclurent avec la journée de vote du 3 novembre. Lors de ces élections, en Mauricie comme ailleurs au Québec, on a beaucoup parlé de développement économique dans le bon vieux sens traditionnel du terme.

Si le Petit Prince nous posait cette question aujourd'hui, plusieurs seraient un peu embêtés, embarrassés. Ils ne devraient pourtant pas. Ils ne devraient pas se laisser aveugler par les exemples de corruption, de fraude et de mauvaise gestion.

Les élections municipales 2013 viennent tout juste de se conclurent avec la journée de vote du 3 novembre. Lors de ces élections, en Mauricie comme ailleurs au Québec, on a beaucoup parlé de développement économique dans le bon vieux sens traditionnel du terme.

Dans ce billet sur la gouvernance, nous allons démystifier l'aide que peut apporter une MRC aux municipalités qui la composent. Premièrement la MRC a des obligations légales et peut donner des services que des municipalités ne peuvent pas nécessairement s'offrir.

Dans quelques mois, les Québécois et Québécoises auront à choisir des personnes à qui ils confieront la planification, l'organisation et la gestion de leur municipalité.

L'Autorité des marchés financiers (AMF) nous informait dernièrement que le Mouvement Desjardins allait maintenant entrer dans le club des « trop gros pour faire faillite » (Le Soleil, 20 juin 2013).

Depuis un certain temps, l'actualité met au grand jour des situations de collusion, de corruption, de manque d'éthique, d'intégrité et de transparence, de conflits d'intérêts, de nominations partisanes découlant des actions ou décisions prises par certains dirigeants des divers paliers gouvernementaux.